Un petit village de campagne.
Un soir d’été.
On se prépare pour sortir danser.
Le soleil se couche.
La nuit fait son apparition.
On étend au loin la musique, elle nous invite à la rejoindre.
«Non, je ne me souviens plus
du nom du bal perdu»
Ce sont les paroles de C’était bien, interprété par Bourvil.
Le point de départ de ma promenade vers ce bal perdu.
Mon intervention se transforme en un petit sentier de campagne.
Cette nature qui sent bon la garrigue.
Plus nous avançons, plus la végétation devient dense.
Le rythme de la musique de plus en plus proche.
Quelques danseurs font leur apparition sur le chemin.
Nous continuons avec eux jusqu’à la piste de danse.
«Sur une piste de misère
Y’en avait deux, à découvert.»
«Ce sont ces amoureux
Qui ne regardent rien autour d’eux»
«C’est qu’on était heureux
Les yeux au fond des yeux.
Et c’est bien …»
« … » extraits de C’était bien (également appelée Le P’tit Bal perdu ou Au petit bal perdu)
Paroles de Robert Nyel sur une musique de Gaby Verlor
Le musée se métamorphose pour accueillir cinq créations et installations originales d’Albertine, Adrienne Barman, Mirjana Farkas, Krel et Claire Nydegger.Cinq atmosphères de légèreté, de musicalité, de couleurs, de mouvements, d’humanité. Boules à facettes, sentier d’un bal perdu, guirlandes lumineuses, herbe foulée, temps des slows, tango argentin, jeu des regards…